Journal du 19 novembre
C'est l'appel ! Nos nouvelles Terminales ne sont pas là, pour diverses raisons. Il va pourtant falloir qu'elles mettent les bouchées doubles ! Où est Mathias ? Qui le sait le dit ! Amendine vient s'excuser et s'inscrire au stage. Pierrick toujours convalescent vient dire bonjour. On reçoit la visite de l'ancien Antony. L'occasion de faire la pub du "coin des anciens".
Dolorès boucle les inscriptions au stage. Il va falloir, mes agneaux, apprendre à vous discipliner un peu, car à 39, sinon, on va perdre beaucoup de temps...
Début de la séance, justement,on perd beaucoup de temps. Le cercle a explosé, des groupillons discutent dans leur coin de longues minutes avant de se rendre compte que Dolorès et moi, nous les attendons pour commencer à travailler. Quand cela est fait, nombreux sont les étonnés : eh oui, mes amiches, on est 39, je l'ai déjà dit, mais peu s'en soucient et à ce nombre, un seul suffit... et la machine se dérègle. Bon, le stage une fois passé et ses nécessaires formalités, on pourra peut-être recommencer les séances par de la relaxation. En général, ça met tout le monde en condition. Espérons le !
Cette semaine, on n'a pu que travailler La Fleur de l'âge. D'abord, le travail vocal, ensuite les recherches chorégraphiques à 4 groupes. Ca avance... mais on aurait pu aussi travailler les autres scènes...
Les Terminales Coco, Ingrid V. et Latchatcha ont travaillé leur texte avant la séance. Elles viennent en parler et questionner. Elles ont raison. Comment dire des mots si on ne les comprend pas. C'est la première démarche à faire... Claire, qui passera l'épreuve en candidate libre, car elle n'est plus au Lycée, a reçu ses textes, elle aussi. Elle va pouvoir s'y mettre.
Pour préparer le stage et avancer dans le projet des métamorphoses, plusieurs nouveaux textes vont faire leur entrée : La Clé d'or, des frères Grimm, pour introduire Cortège de Prévert. Le prologue du Maléfice de la Phalène, de Garcia Lorca, une bonne manière de saluer José, notre metteur en scène, en pleine répétition de Mémoires d'une terre lointaine, d'après Poète à New York, du même Lorca, dont la première est le 2 décembre. Enfin, La Lumière est comme l'eau, de Garcia Marquez.
Mercredi 26 novembre, on est au Plessis pour la répétition publique de Mémoires d'une terre lointaine.
15h50, fin de la séance, on plie la moquette et on la prépare pour le stage...